Appel à candidature à une bourse de recherche de 5 à 7 mois en islamologie

L’Institut français d’islamologie, l’Institut dominicain d’études orientales (Idéo) et l’Institut français d’archéologie orientale (Ifao), lancent un appel à candidature pour une bourse de recherche postdoctorale dans les domaines de l’islamologie.

Objectif de la bourse

Cette bourse vise à offrir à une chercheuse ou un chercheur, ci-après désigné comme « la ou le bénéficiaire », l’opportunité de poursuivre ses recherches en islamologie ou / et de bénéficier d’un semestre sabbatique, en résidence au Caire, en Égypte. La bourse est d’une durée minimale de 5 mois et peut aller jusqu’à 7 mois entre le 1er novembre 2023 et le 30 juillet 2024.

Conditions de la bourse

La bourse prend en charge les frais de transport aller-retour depuis le lieu de résidence de la ou du bénéficiaire jusqu’au Caire.

Le logement de la ou du bénéficiaire est assuré durant le temps de la bourse, soit à la Villa des Chercheurs de l’Idéo, soit à l’Ifao, selon les disponibilités des Instituts.

La ou le bénéficiaire bénéficie d’un accès aux ressources de la bibliothèque de l’Idéo, comprenant les ouvrages, les revues spécialisées et les bases de données nécessaires à ses recherches, ainsi que l’usage en 24/87 de la bibliothèque de l’Ifao.

La ou le bénéficiaire reçoit pour la durée de la bourse une allocation de 5000 €.

Engagements du chercheur sélectionné

La ou le bénéficiaire participe une fois par semaine au séminaire interne de l’équipe de recherche de l’Idéo et/ou de l’Ifao.

La ou le bénéficiaire mène à bien un projet d’écriture durant la période de la bourse, tel qu’un article scientifique ou la rédaction d’un livre, ou la finalisation d’une communication scientifique.

La ou le bénéficiaire mentionne le soutien de l’IFI/Idéo/Ifao au moment de la publication de sa recherche.

Critères de sélection

La ou le bénéficiaire est titulaire d’un doctorat en islamologie ou dans un domaine connexe. Elle ou il démontre un intérêt et une expérience de recherche pertinente dans le domaine de l’islamologie. Elle ou il maîtrise l’arabe. Elle ou il témoigne d’une capacité à travailler de manière autonome et à s’intégrer dans un environnement de recherche international.

Modalités de candidature

Les candidates et candidats intéressé(e)s doivent soumettre les documents suivants :

  • Curriculum vitae détaillé.
  • Lettre de motivation.
  • Résumé du projet de recherche (maximum 2 pages).
  • Une lettre de recommandation académique.

Les candidatures doivent être envoyées par courrier électronique à et à / avant la date limite de dépôt des candidatures, fixée au 1er octobre.

Une commission constituée de représentants de l’Idéo, de l’Ifao et de l’Ifi, sera chargée d’examiner les dossiers de candidatures et de sélectionner la candidate ou le candidat retenu(e).

Le Dieu immédiat

Adrien CandiardLe Dieu immédiat. Le concept de vérité dans le Darʾ taʿāruḍ al-ʿaql wa-l-naql d’Ibn Taymiyya, Paris, Cerf, 2023.

C’est en islamologue confirmé, son premier métier, que le frère Adrien Candiard livre ici ses travaux savants sur le théologien musulman ibn Taymiyya (1263-1328), revendiqué comme l’une de ses sources par l’islamisme contemporain. Cette étude magistrale et novatrice sur un auteur très cité et peu lu plonge dans les débats d’hier pour éclairer les enjeux d’aujourd’hui. Est-il un autre auteur médiéval si influent et paradoxalement si méconnu ? Figure de l’islam au tournant du XIVᵉ siècle, Taqî ad-Dîn Ahmad ibn Taymiyya est devenu l’une des références de l’islamisme contemporain. Mais quelle fut réellement sa pensée ? Et quelle peut être sa vraie actualité ?
C’est en islamologue que le frère dominicain Adrien Candiard entreprend ici un déchiffrage inédit de l’oeuvre d’Ibn Taymiyya, de son traité majeur, Le rejet de la contradiction entre la raison et la tradition, de sa conception de la vérité. Il s’attache également à analyser et élucider les questions disputées à son sujet. Qu’en est-il vraiment du rejet de la théologie rationnelle, de la philosophie spéculative, de la spiritualité soufie qu’on lui attribue ? Des polémiques contre Al-Ghazali, Ibn Arabi, Averroès qu’on lui prête ? Des maux de l’islam actuel, dont on dit qu’il est la cause ? Et surtout, quelle est sa vision de Dieu ? Par-delà les appropriations postérieures, cet ouvrage à la fois érudit, passionnant et novateur fait revivre la pensée de cet auteur majeur et controversé, afin que les débats d’hier éclairent le monde d’aujourd’hui.

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Renouveau et dynamiques de l’islamologie en Europe

Emmanuel Pisani, Zohra Aziadé Zemirli (dir.), Renouveau et dynamiques de l’islamologie en Europe, Paris, Cerf, 2023.

Voici un passionnant état des lieux des recherches qui augmentent notre connaissance sur le fait religieux musulman ancien et contemporain. Dans un contexte international troublé où l’islam est parfois défi ni comme marqueur idéologique de nombreux conflits, des recherches académiques mobilisant l’histoire, la sociologie, la science politique se sont multipliées en Europe. Si ces recherches ont une valeur reconnue, il est cependant nécessaire de les coupler avec une connaissance approfondie des sources de l’islam et de leurs usages contemporains. En déclin par rapport à l’âge d’or du XIXe et début du XXe siècle, l’islamologie connaît un nouvel essor en Europe à la faveur d’une dynamique de fi nancements et de la création de postes en université, notamment en France. Ainsi assiste-t-on à l’essor de l’islamologie dans les pays européens ces dernières années. Le présent ouvrage dresse une cartographie des différentes expériences de recherches et d’enseignements de cette discipline en Europe, de son dialogue avec les autres disciplines des sciences humaines, des échanges fructueux ou des hiatus entre le champ de la recherche, les administrations ou encore les acteurs du culte musulmans. Se dessine un passionnant état des lieux des recherches qui augmentent notre connaissance sur le fait religieux musulman ancien et contemporain.

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Le grand imâm d’al-Azhar

Dominique Avon, « Le grand imâm d’al-Azhar, l’islam et les sciences humaines (2010-2020). Mise en perspective de quelques déclarations », dans Emmanuel Pisani et Zohra Aziadé Zemirli (dir.) Renouveau et dynamiques de l’islamologie en Europe, Paris, Cerf, 2023, p. 165-186.

Le sens littéral, entre mondes chrétiens et mondes musulmans (VIIᵉ‒XVᵉ siècles)

 Colloque organisé à l’Institut dominicain d’études orientales (Le Caire)

15‒17 février 2024

En pointant du doigt le « littéralisme » ou le « fondamentalisme » de tel ou tel mouvement religieux, l’actualité met volontiers sur le devant de la scène la notion de sens littéral des textes sacrés, qu’il soit revendiqué comme le seul sens authentique ou dénoncé comme une simplification abusive. L’apparente simplicité du sens littéral, présenté comme la signification obvie d’un texte, en-deçà de toute interprétation et toute démarche herméneutique, est pourtant remise en question par les études de linguistique1 qui ont montré qu’il s’agit d’un sens construit, dont la définition suppose toujours un cadre herméneutique, même implicite. S’agissant de l’herméneutique des textes saints du christianisme et de l’islam, c’est à travers les débats médiévaux que se mettent en place ces cadres de référence, qui ont  déjà fait l’objet d’études nombreuses. Pour l’Occident chrétien, depuis les œuvres pionnières d’Henri de Lubac2 et de Beryl Smalley3 jusqu’à la riche synthèse de Gilbert Dahan4, l’histoire de la conception et de la canonisation progressives de multiples sens est désormais connue, montrant en particulier le rôle essentiel qu’y joue l’historia (ou littera) : loin d’être le parent pauvre de l’exégèse médiévale latine, elle s’affirme au contraire, non seulement comme le fondement des sens spirituels, mais encore comme un sens riche par lui-même, pouvant faire l’objet d’analyses à différents niveaux. Cette harmonie élaborée par l’herméneutique savante n’empêche pas l’existence de mouvements spirituels au littéralisme strict revendiqué. Cette richesse des études sur l’herméneutique latine contraste toutefois avec leur faiblesse s’agissant d’autres mondes chrétiens, notamment l’univers byzantin.

Le domaine islamique, malgré un grand nombre d’études, semble avoir résisté jusqu’ici à la synthèse. Il est vrai que le sens littéral des textes sacrés y fait l’objet d’approches disciplinaires distinctes, en particulier en théorie du droit (uṣūl al-fiqh)5 et en théologie, ce qui contribue à expliquer la diversité des termes techniques pouvant désigner le sens littéral (ẓāhir, ḥarfī, lafẓ, naṣṣ). Il est surtout l’enjeu de profondes divisions, qui peuvent être confessionnelles (la féconde dialectique entre sens extérieur, ou ẓāhir, et sens intérieur, ou bāṭin, structurante dans le chiisme6, fait l’objet de vives critiques dans le sunnisme) ou méthodologiques entre les différents écoles juridiques et théologiques (la question du sens littéral est au cœur de la controverse majeure qui oppose le ḥanbalisme au muʿtazilisme puis à l’ašʿarisme7).

Les riches travaux menés de part et d’autre de la frontière religieuse ne se rencontrent guère entre eux. Les herméneutiques médiévales chrétiennes et musulmanes partagent pourtant des sources essentielles, dans l’héritage de la civilisation hellénistique et des pratiques d’interprétation du judaïsme. Ayant foi en un Dieu qui se révèle par la parole, les deux traditions religieuses partagent également d’importantes questions, bien qu’elles envisagent la révélation de manières très différentes. L’existence d’une circulation intellectuelle parfois intense entre les deux civilisations, dans bien d’autres domaines, achève de justifier l’intérêt d’une approche comparatiste rigoureuse, qui permettrait d’éclairer les deux domaines d’étude. Cette approche comparatiste ne vise pas toutefois à mettre en lumière de simples convergences ni des influences réciproques. Il n’est pas certain que le sens littéral, dont les deux traditions font usage, puisse faire l’objet d’une définition unique, dans des cadres théologiques et herméneutiques différents ; peut-être même la notion ne recouvre-t-elle pas des réalités analogues : l’étude comparatiste peut servir à clarifier ces distinctions, et par là même à rendre compte de la complexité de la notion de sens littéral.

Le colloque se donne pour objet non pas toutes les thématiques liées au littéralisme, mais bien l’explicitation des sens du sens littéral. Les propositions attendues porteront donc sur la place de ce sens littéral dans le questionnement herméneutique.

Le colloque couvre volontairement une vaste chronologie, dont les bornes ont une valeur dans les deux domaines : le VIIᵉ siècle correspond au commencement de l’islam, mais aussi à celui du Haut Moyen Âge — un commencement naturellement moins absolu, tant les racines patristiques restent actives et essentielles. Quant au XVᵉ siècle, qui s’achève en monde chrétien au seuil de la Réforme et des nouveaux questionnements herméneutiques qu’elle implique, il marque également la fin de la période classique en monde islamique, laissant à d’autres recherches les civilisations ottomane et safavide notamment.

L’approche comparatiste du colloque suppose un effort réel de compréhension entre des chercheurs qui travaillent sur des domaines habituellement étanches. C’est pourquoi les intervenants s’engageront à envoyer leur intervention un mois avant la tenue du colloque, et à préparer une réaction argumentée à deux interventions qu’ils auront lues au préalable.

Langue du colloque : anglais.

Le colloque aura lieu du 15 au 17 février 2024 au Caire. Les propositions d’intervention doivent être envoyées (, ) avant le 30 juin 2023. Les interventions au colloque feront l’objet d’une publication dans les Mélanges de l’Institut dominicain d’études orientales.

Comité scientifique :

Adrien Candiard, Idéo, Le Caire

Sumi Shimahara, Sorbonne Université / Centre Roland Mousnier (UMR 8596).

  1. Voir notamment R. SEARLE, « Le sens littéral », in Langue française, n°42 (1979) pp. 34-47.
  2. DE LUBAC, Exégèse médiévale. Les quatre sens de l’Ecriture, Paris, Aubier, 1949-1964, 4 vol.
  3. SMALLEY, The study of the Bible in the Middle Ages, 3e édition revue, Oxford, Blackwell, 1983.
  4. DAHAN, L’exégèse chrétienne de la Bible en Occident médiéval (XIIᵉ-XIVᵉ siècle), Paris, Le Cerf, 1999.
  5. C’est dans ce domaine essentiel qu’est parue la seule synthèse disponible à ce jour : GLEAVE, Islam and Literalism: Literal Meaning and Interpretation in Islamic Legal Theory, Édimbourg, Edinburgh UP, 2012.
  6. CH. JAMBET, Le Caché et l’Apparent, Paris, L’Herne,
  7. Voir en particulier VAN ESS, Theologie und Gesellschaft im 2. und 3. Jahrhundert Hidschra, Berlin/ New York, De Gruyter, 1991, vol. 4.

 60 ans après Nostra Aetate

Nouvelles perspectives sur l’engagement dominicain pour un dialogue catholique avec les juifs et les musulmans 

Du 19 au 21 janvier 2024, à Trèves, Allemagne

La déclaration Nostra Aetate « sur les relations de l’Église avec les religions non chrétiennes » (1965), relativement courte, constitue « l’une des dernières surprises du Concile Vatican II »1 (Maurice Borrmans) et marque un changement de paradigme dans l’attitude de l’Église catholique à l’égard des autres religions. Malgré de nombreuses lacunes théologiques — du point de vue actuel — la déclaration représente une perception différente et appréciative des autres religions, en particulier du judaïsme et de l’islam, et a ainsi jeté les bases d’une théologie moderne des religions d’un point de vue catholique.

Il est incontestable que plusieurs religieux, dont des dominicains, ont joué un rôle important dans la rédaction de la Déclaration.2 Ce qui est moins connu, c’est leur travail de préparation théologique et/ou pratique intensif, parfois pendant des décennies, qu’ils ont effectué par le biais de rencontres personnelles avec des juifs et des musulmans ainsi que par l’étude académique du judaïsme et de l’islam, ouvrant ainsi la voie à Nostra Aetate. En revanche, d’autres membres de l’Ordre ont critiqué cet engagement et ont tenté d’empêcher une déclaration du Concile d’une telle portée, mais ils ont finalement échoué en raison de l’appel des Pères du Concile à un « aggiornamento » dans l’Église. Les conditions théologiques et dialogiques d’une ouverture interreligieuse dans la première moitié du XXᵉ siècle jusqu’à la fin du Concile en 1965 feront l’objet d’une conférence internationale à la Faculté de théologie de Trèves, en Allemagne, en coopération avec l’Institut Emil-Frank et l’Institut de recherche sur l’histoire de l’Ordre dominicain dans les pays de langue allemande (IGDom). En se concentrant sur les Dominicains, la conférence discutera la contribution directe et indirecte des membres de l’Ordre — c’est-à-dire les sœurs, les frères et les laïcs — au changement de paradigme dans les relations entre juifs et catholiques ainsi qu’entre musulmans et catholiques.

Sur la base de sources jusqu’ici inexplorées (lettres, rapports, chroniques, ouvrages théologiques, etc.), conservées dans des bibliothèques publiques et privées ainsi que dans des archives, le thème sera abordé dans différents contextes (social, ecclésiastique, politique) et régions (pays, provinces de l’Ordre). Notre objectif est d’examiner de manière critique l’engagement interreligieux des membres de l’Ordre au cours de la première moitié du vingtième siècle en tant que condition préalable à la déclaration de Nostra Aetate, dans le but d’identifier des desiderata et de stimuler la recherche future dans ce domaine.

À l’occasion du 60ᵉ anniversaire de la proclamation de Nostra Aetate, le 28 octobre 2025, une publication des articles les plus novateurs est prévue dans la série des « Quellen und Forschungen zur Geschichte des Dominikanerordens – Neue Folge », avec l’éditeur De Gruyter.

Les organisateurs de la conférence universitaire lancent un appel à communications portant sur l’un des trois niveaux suivants :

1. Les membres individuels de l’Ordre dominicain tels que :

  • Georges Chehata Anawati, o.p, (1905‒1994).
  • Paolo Vieri Andreotti, o.p, (1921‒1995).
  • Kevin William Barden, o.p,  (1908‒2004).
  • Serge de Laugier de Beaurecueil, o.p, (1917‒2005).
  • Pierre Benoit, o.p, (1906‒1987).
  • Dominique Boilot, o.p, (1912‒1989).
  • Marie-Dominique Boulanger, o.p, (1885‒1961).
  • Marie-Dominique Chenu, o.p, (1895‒1990).
  • Francesco Benedetto Cialeo, o.p, (1901‒1985).
  • Marcel-Jacques Dubois, o.p, (1920‒2007).
  • Bernard Dupuy, o.p, (1925‒2014).
  • Willehad Paul Eckert, o.p, (1926‒2005).
  • Paulus Engelhardt, o.p, (1921‒2014).
  • Sebastianus Van den Eynde, o.p, (1893‒1960).
  • Claude Geffré, o.p, (1926‒2017).
  • Giuseppe Girotti, o.p, (1905‒1945).
  • Bruno Hussar, o.p, (1911‒1996).
  • Antonin Jaussen, o.p, (1871‒1962).
  • Jacques Jomier, o.p, (1914‒2008).
  • Jean-Paul Lichtenberg-Lantier, o.p, (1926‒1972).
  • Jean Pierre de Menasce, o.p, (1902‒1973).
  • Félix Morlion, o.p, (1904‒1987).
  • Carolus Pauwels, o.p, (1903‒1965).
  • Giorgio La Pira, o.p, (1904‒1977).
  • Cyprian Rice, o.p, (1889‒1966).
  • Reginaldo Santilli, o.p, (1908‒1981).
  • Rose Thering, o.p, (1920‒2006).

2. Groupes de dominicains (communautés, couvents, institutions) tels que :

  • Antagonistes contre protagonistes au sein des « paires de dialogue » de l’Ordre.
  • Dominicains participant au Colloque de Seelisberg de 1947.
  • École biblique et archéologique française, Jérusalem.
  • Les couvents (par exemple à Alger, Bagdad, Beyrouth, Casablanca, İstanbul, Mossoul, Multan, Rabat, Chiraz, Téhéran).
  • Institut dominicain d’études orientales, Cairo.
  • Maison Saint-Isaïe, Jérusalem.

3. Des revues telles que :

  • L’Afrique dominicaine, Alger, 1936-56 (renommée Les Cahiers religieux d’Afrique du Nord, 1956‒1961, Aujourd’hui, 1964‒1966).
  • Blackfriars, 1920‒1964 (renommée New Blackfriars, 1964‒).
  • Cahiers du Cercle thomiste, Le Caire, 1934‒1952.
  • Istina, 1954‒
  • Lumière et vie, 1951‒2013.
  • Mélanges de l’Institut dominicain d’études orientales, 1954‒
  • Revue biblique, 1892‒

Veuillez envoyer par email un résumé de votre communication, de 300 mots maximum, ainsi qu’un bref CV académique à avant le 30 septembre 2023 (objet : Colloque de Trèves 2024).

Date du colloque : Du vendredi 19 janvier au dimanche 21 janvier 2024.

Lieu du colloque : Haus der pastoralen Berufe (Salle de conférences II), Jesuitenstraße 13, 54290 Trèves, Allemagne.

Langue du colloque : anglais, français, allemand (aucune traduction fournie).

Organisateurs : Elias H. Füllenbach, o.p (IGDom) / Dr. Dennis Halft, o.p, (Faculté de théologie de Trèves, Institut Emil Frank).

1. M. Borrmans, “L’émergence de la Déclaration Nostra Aetate au Concile Vatican II,” in: idem, Dialogues, rencontres et points de contact entre musulmans et chrétiens dans une dimension historique, Milano 2007, 32‒64, ici : 32.

2. See M. Attridge, D. Dias, M. Eaton, and N. Olkovich (eds), The Promise of Renewal: Dominicans and Vatican II, Adelaide 2017.